28 semaines plus tard
Un virus atteint Londres en transformant ses habitants en montres sanguinaire. Le virus une fois éradiqué - Une repopulation des lieux est possible pour peu à peu revenir à une vie normale mais placée sous étroite surveillance.
Don et ses 2 enfants ont réussi a échapper au virus et surprise de taille, son épouse qu'il croyait perdue est retrouvée miraculeusement sauve.
J'ai trouvé le début excellent et les courses pour tenter de garder sa vie sauve halletantes et complèment effrayantes. Mais une fois fixée sur le sort de Robert Carlyle, le film perd un peu de son intérêt.
Le casting est pertinent comme dans toutes les productions DNA mais Boyle pourrait revoir ses ambitions à la hausse car certaine mécaniques sont déjà clairement repérables dans Sunshine - comme la caméra prise de panique pour affoler le spectateur qui reste diverti mais reste en droit de s'attendre à mieux de la part de Boyle, ici producteur exécutif avec Alex Garland -
Je souhaite retrouver, dans un avenir très prochain, un Robert Carlyle au sommet comme à l'époque de Carla's song. Il mérite tellement mieux !!!!