Into the Wild
Chris, fraichement diplômé, étouffe dans sa cellule familiale. Il est épris d'espace et n'aspire qu' a une chose: se détacher de tout biens matériels et vivre libre sans attache. Un nouveau départ rime à se créer une nouvelle identité: celle d' Alex Supertramp. Cette quête d'idéal voudrait le mener à partir à l'aventure jusque vers l'Alaska, mais elle le conduira vers un voyage jusqu'au bout de lui-même. Aussi noble soit son projet, et aussi réfléchi soit-il, cela ne veux pas dire pour autant qu'il soit pour autant à l'abris d'une erreur de jugement et de la fatalité....
Sean Penn réussi un coup de maître avec un Into the Wild plein de poésie qui prend le temps de mesurer . Bravo à Emile Hirsch qui tient le rôle principal en se montrant aussi convaincu que convainquant avec un engouement des plus persuasifs. Hirsch était opparavant remarquable aux côté de Heath Ledger en skateur des 70's dans Les Seigneurs de Dogtown (diffusé il y a peu sur Canal).
La musique au son folkeux d'Eddy Vedder donne toute sa dimension à l'image et transporte avec efficacité le spectateur.
Je me suis embarquée dans cette aventure en la sachant réelle, mais sans rien connaître du funeste destin du protagoniste principal.Je m'attendais à un happy-end vu la force d'obstination cet "Alex Supertramp". On peut certes critiquer les choix extrêmes prix par Christopher McCandless, mais saluons son envie de retourner aux choses essentielles - Profiter de l'instant présent. Le film donne à cogiter. L'année ciné 2008 commence fort. Je me suis déjà ruée sur la BO et vais acheter le livre de Jon Krakauer dont est tiré le film.