Memory
Sylvia, mère d’une ado et assistante sociale dévouée, inscrite aux alcooliques anonymes rencontre Saul dans une soirée d’anciens élèves. Saul suit Sylvia et est de suite apeurée mais les circonstances vont faire qu’en se connaissant mieux, les deux protagonistes vivent des brisures du passé et vivre une histoire des plus réparatrices.
Le film est si délicat en dépit des sujets traités que l’on tombe sous le charme de suite. Saul qui aurait pu être le pire des psychopathes se révèle être comme un ours fragile et sans défense. Sylvia a ses démons qui la hante et aimerait oublier et Saul se bat pour se souvenir au quotidien. Ces deux êtres sont si abîmés. À eux deux, ils vont être plus forts et c’est si beau. Plus jamais je n’écouterai la chanson A Whiter Shade of Pale de Procol Harum de la même façon dorénavant. Ce film fait tant de bien qu’il reste gravé. Jessica Chastain et Peter Sarsgaard sont merveilleux. Coup de cœur maximum.
Bande-Annonce :