1. The Dark knight :

en hommage à l”inoubliable Heath Ledger disparu tragiquement il y a presque déjà un an déjà et qui m”a laissée bouleversée.

Dans les années trente, dans un contexte des dangers de la  guerre, Lady Sarah Ashley, aristocrate londonienne veut se rendre en Australie pour finaliser une affaire de vente de bétail et rejoindre son époux qu’elle soupçonne d’être infidèle. Arrivée sur place pleine de déconvenues, elle doit faire face au décès de son mari et faire connaissance avec la population locale et se familiariser avec les coutumes des aborigènes. Certains aimeraient bien la voir partir pour bénéficier des belles terres de Faraway Downs. Epaulée par Nullah, Drover, et Flynn, Sarah souhaite mener à bien le travail de son défunt mari. Rentabiliser les terres de Faraway Downs en rassemblant 1500 têtes de bétail pour Darwin. S’en suit un périple aussi magnifique que dangereux qui bouleversera Sarah à jamais ….

Nicole Kidman et Hugh Jackman

Mission accomplie pour le Maestro Luhrmann qui nous délivre ici un bien joli cadeau de fin d’année. Luhrmann signe son oeuvre la plus aboutie. Les paillettes ont laissé place a une fresque luxieuse qui n’oublie pas d’être originale et ce qui prime chez Luhrmann: la Magie du cinéma. Une Magie du cinéma qui est en partie due aux décors, aux paysages, et acteurs de premiers choix mais surtout grâce à la présence d’un nouveau venu dans la famille du cinéma, Brandon Walters, l’interprète du petit Nullha qui a vraiment de quoi ravir la statuette à ses ainés lors de la cérémonie des Oscars.

Brandon Walters et Nicole Kidman 

Australia est définitivement un grand film dans la veine d’ Autant on emporte le vent, Out of Africa. Un film sur la tolérance et l’accomplissement d’un rite de passage entre enfance et accomplissement de soit en tant qu’adulte. On y retrouve la folie du mélange de styles dans un même film. L’importance de la narration est toujours capitale chez Luhrmann qui laisse deviner au combien sa manière de dirigée est généreuse. La musique aussi à toujours la part belle addtionnée de la musique du Magicien d’oz et de celle d’Elton John. Une jolie leçon de cinéma qu’il serait vraiment dommage de râter.

Baz Luhrmann – le réalisateur

Image :© Twenteeth Century Fox France

Antoine de Maximy reprend ici pour le cinéma sa méthode qui fait mouche sur le petit écran en faisant les beaux  jours de France 5 et Voyages: en décidant d’une destination pour en suite se faire inviter chez l’habitant, caméra à l’épaule. Ici, le but de son voyage est de traverser l’Amérique, mais se rajoute à cela la difficulté la difficulté de réussir à se faire inviter par la célébrité de son choix. Les étapes de son projets seront marquées par  ses rencontres aussi frileuse avec les amishes, ou mitigées avec les indiens,que chaleureuses,avec un couple de New-yorkais avec un habitant de la Nouvelle Orléans ou un SDF qui passe ses nuits sur la plage. Il faudra souligner les conditions dangereuses du périple pour un homme à pieds qui le pousserons à acheter une voiture pour le moins original: un corbillard en piteux état repeint en rouge ….

Un Halloween à la mode  de De Maximy !….

A voir pour un voyage en immersion totale tantôt surprenant voir déroutant dans le choix de ses altes mais avant tout passionnant, riche, et jamais ennuryant. A expérimenter (en particulier pour ceux qui ont aimé Into the Wild) pour un dépaysement garanti.

Images: © Walt Disney Motion Picture France

TOUS MES VOEUX POUR UN BON ET JOYEUX NOËL !!!!!!

Malgré lui Témoin d’un meurtre, Dale est un peu obligé de faire équipe avec son dealer pour échapper au baron de la drogue. Entre deux péripéties, une amitié se lie entre les deux hommes….

Saul et Dale: Une amitié à toutes épreuves …

Une comédie sous acides à prendre au troisième degré mais qui est parfaite pour les soirées anti déprime.

A voir pour un James Franco très loin de ses rôles habituels.  Mr Gucci by Gucci lâche du leste et ça lui réussit très bien, en fin de comptes. Notons que Seth Rogen est en train de se faire sa petite place de choix dans le milieu des comédies.

Un James Franco multi facettes: modèle pour Gucci ou en rôle de junky en pyjama.

Le tandem Seth Rogen /James Franco: une brillante idée de contraste !

Images : Pineapple Express :© Sony Pictures releasing France 

Gucci: © Gucci

Un matin de 1928, Christine doit remplacer une collègue au pied-levé, ce qui la contraint de laisser seul son fils Walter,9 ans pour la journée. A son retour, son fils à disparu et reste introuvable. Elle averti de suite la police qui lui répond qu'elle ne peut commencer les investigations avant 24 heures. Lorsque la recherche est enfin lancée, l'enquête piétine, jusqu'a l'on finisse par retrouver un garçon qui correspond au signalement. Au moment des retrouvailles, Christine en est convaincue dans son fort intérieur, le garçon retrouvé n'est pas son fils. Elle accepte tout de même de le ramener à la maison, mais elle va se rendre compte que son intuition ne la pas trompée. Ce n'est alors que le commencement d'un chemin semé d'embûches pour rouvrir l'enquête.

Un Clint Eastwood inspiré d'une histoire vraie, traitée avec une finesse et une sensibilité exemplaire alors que le sujet à la base ne s'y prête pas forcément. Impossible de rester de marbre devant l'histoire dramatique de cette maman confrontée à l'horreur, au pire et à l'incertitude du sort de son garçon. Une histoire de maman exemplaire qui va rester digne et y croire jusqu'au bout alors que tout va être fait pour la mettre à mal.

Angelina Jolie entre coup durs et coups de pouces

Images: © Universal Pictures

James Bond est chargé par M de se renseigner sur une mystérieuse organisation qui cache ses activités derrière un projet écologique à l'échelle mondial mais qui pourrait s'averer redoutable pour le MI-6.

Seulement Bond est si obnubilé par sa volonté de venger la mort de Vesper que ses méthodes finissent par être discréditées. L'aide de Mathis et de Camille, ancienne relation de Greene dans sa mission ne lui seront pas superflues.

James Bond et ses girls 

Un James Bond qui se laisse regarder sans déplaisir. Daniel Craig confirme ici qu'il est le bon choix pour interprêter l'agent 007. Amalric se défend bien dans son rôle de vilain mais on regrettera la complexitée du personnage de Vesper par rapport à Camille pourtant portée à bouts de bras par Olga Kourylenko. Le style de cet opus est différent de celui du précèdent. Moins glamour et plus abrupte tout en utilisant des références multiples provenant des autres épisodes de la saga.

On notera aussi que le partie pris est de privilégier l'action et de laisser de côté les gadgets qui étaient pourtant si précieux à notre cher espion. Un mal pour un bien (souci de réalisme) discutable.

Images:© Sony Picture releasing France